Remerciements
Chikouna Cissé
De nombreuses volontés et initiatives ont rendu ce livre possible. Je voudrais en premier lieu adresser mes remerciements à Bertrand Mbatchi, Secrétaire général du CAMES, pour son appui précieux dans l’accomplissement de ce travail d’investigation historique sur le CAMES. J’inclus dans cette ferveur reconnaissante ses collaborateurs et collaboratrices que sont Abou Napon, Assalih Jaghfar, Zakari Liré, Pascaline Kouraogo, la figure de proue de l’armée de l’ombre Affisath Attanda, Virginie Karama, Etienne Nouatin et Saturnin Enzonga Yoca. Leur promptitude à répondre à mes nombreuses sollicitations a été remarquable.
Les archivistes et documentalistes Maurice Guiré, Félicité Ouédraogo Nanema et Zacharie Bandé ont effectué le premier travail d’exploration à l’ancien siège du CAMES, mettant ainsi à ma disposition le matériau qui a permis de nourrir ma réflexion. Je tiens à leur exprimer toute ma gratitude.
Je tiens à témoigner ma grande reconnaissance à Rambré Moumouni Ouiminga, Mamadou Moustapha Sall, anciens secrétaires généraux du CAMES, et à Malick Bambara, ex agent comptable du CAMES, pour leurs précieux témoignages. Je remercie tous ceux et celles qui, à Dakar, Abidjan, Ouagadougou, Niamey et Lomé, ont spontanément répondu à mes questions relatives au passé, au présent et au futur du CAMES. Je pense particulièrement à d’anciens ministres de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur, à des vice-présidents du Conseil des ministres du CAMES, à des Présidents ou membres du CCG, Présidents ou de membres de CTS, qui ont bien voulu témoigner pour la postérité.
Céline Labrune-Badiane, en résidence de recherche à l’IEA de Nantes, a effectué les premiers sondages au Centre des archives diplomatiques de Nantes, me révélant l’intérêt de ce fonds. Elle m’a accueilli ensuite pour me permettre de poursuivre mes recherches à Nantes et d’achever la rédaction de ce livre. Merci Céline. Mes discussions à l’IEA de Nantes avec l’économiste et écrivain sénégalais Felwine Sarr, le philosophe togolais Yaovi Akakpo et l’anthropologue et éditeur camerounais Parfait Akana, ont été stimulantes. Elles m’ont permis de croiser différents regards sur le CAMES, contribuant ainsi à enrichir ma réflexion. Qu’ils en soient remerciés. Je dois une dette à Beata Stawarska, philosophe étatsunienne de l’Université d’Oregon qui, au cours de nos échanges à Nantes, m’a familiarisé avec les questions d’évaluation dans les universités aux États-Unis.
Cet ouvrage a bénéficié de plusieurs lectures qui en ont poli les aspérités. Je tiens ainsi à témoigner ma reconnaissance aux collègues Bonaventure Mve Ondo, Scholastique Dianzinga, Ayewoudan Akodah, Abou Napon, Kossivi Hounaké, Edouard N’gou-Milama, Lath Yedo Sébastien et Dali Lida Serge. Malick Bambara, Pascaline Kouraogo et Zakari Liré ont apporté des précisions historiques utiles. Je leur témoigne ma profonde gratitude. Je dois exprimer ma reconnaissance aux collègues Ousseynou Faye et Caroline Roussy pour leurs relectures « impitoyables » des premières épreuves de ce livre.
J’aimerais manifester toute ma reconnaissance à ma famille pour son soutien indéfectible. J’exprime toute mon affection à mon épouse Mariam dont le soutien a été un grand stimulant dans cette quête intellectuelle. À mes enfants Aminata, Fatim et Cheikh Hamallah, qui ont si souvent été privés de ma présence, j’exprime toute l’affection du pater.