Présentation des auteur·rice·s
Andréa Carla Reis Andrade est titulaire d’un Master professionnel en Santé Publique de l’Institut Aggeu Magalhães de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle occupe actuellement le poste de responsable de la santé publique à la mairie de Recife (Brésil). Elle possède de l’expérience en planification, en suivi, en évaluation et en réglementation dans le domaine de la santé.
Mouhamadou Faly Ba est un pharmacien diplômé de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar au Sénégal, avec un Master en Santé Publique (option) épidémiologie. En tant que doctorant en santé publique à l’école doctorale de l’UCAD, il enseigne également à l’Institut de Santé et Développement (ISED). Il est auteur d’une dizaine d’articles scientifiques.
Hiroko Baba est directrice adjointe de la division du renforcement des capacités humaines au sein du département du développement des ressources humaines du National Center for Global Health and Medicine (NCGM) au Japon. Mme Baba a une grande expérience des soins infirmiers cliniques et a travaillé sur la coopération internationale en matière de santé dans les pays en développement. Elle est spécialisée dans la formation en soins infirmiers et le développement des ressources humaines et mène des recherches qualitatives sur le développement professionnel dans le domaine des soins infirmiers.
Yvonne Beaugé travaille à l’Institut de didactique médicale et de simulation clinique du centre hospitalier universitaire de Francfort. Elle est titulaire d’un doctorat en santé publique (Ph.D.) et possède une expérience en financement et économie de la santé. Son intérêt particulier réside dans l’accès aux soins de santé pour les populations les plus défavorisées.
Camille Beaujoin est étudiante au doctorat en santé publique à l’École de Santé Publique de l’Université de Montréal. Elle a également une expérience clinique en tant qu’infirmière en santé mentale au CHU de Nantes (France). Ses intérêts de recherche portent sur l’évaluation d’intervention de santé publique, les inégalités sociales, et les approches participatives et décoloniales dans la recherche en santé publique.
Gisèle Bendjelloul est cadre supérieur de santé en prévention du risque infectieux au sein de l’Équipe de Prévention du Risque Infectieux (EPRI) de l’hôpital Bichat Claude-Bernard. Ses recherches portent en particulier sur la prévention du risque infectieux parmi les patients et les professionnels de santé à l’hôpital.
Pauline Boivin est diplômée en anthropologie de la santé et psychomotricienne. Elle travaille au sein de l’équipe de recherche de l’association Miseli au Mali, sur des questions liées aux politiques publiques de santé ou à la couverture sanitaire universelle. Elle s’intéresse par ailleurs à la santé mentale et la santé maternelle et infantile.
Emmanuel Bonnet est directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (IRD) au sein d’Unité Mixte de Recherche PRODIG de l’IRD et du CNRS. Ses travaux de recherche et d’évaluation portent sur l’évaluation des populations vulnérables et l’efficacité des politiques de santé publique qui les concernent. Il mobilise des méthodes originales d’analyse spatiale pour analyser les effets des politiques à toutes les échelles géographiques et administratives. Il a dirigé l’Observatoire territorial de la gratuité des soins pour les indigent-e-s au Burkina Faso[1], un programme de recherche financé par l’Union Européenne.
Gisele Cazarin est docteure en santé internationale de l’Université nouvelle de Lisbonne (Portugal). Elle a effectué un post-doctorat à l’Institut Aggeu Magalhães de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle occupe actuellement le poste de professeure dans le programme de maîtrise en évaluation de la santé à l’Institut de Médecine Intégrale Professeur Fernando Figueira (Brésil) et assume la responsabilité du suivi et de l’évaluation au sein du Département de la santé de la municipalité de Recife. Ses travaux principaux englobent la recherche, l’enseignement et la consultation dans le domaine de l’évaluation et du suivi de la santé.
Fanny Chabrol est socio-anthropologue, chargée de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et au Centre Population et Développement (Ceped) et chercheuse associée à Huma, Institute for the Humanities in Africa à l’Université de Cape Town. Ses recherches portent sur les pratiques de soin et politiques de réforme des hôpitaux publics dans le Sud Global.
Lisa Chotard est diplômée d’un master en Sciences Sociales à l’Université Paris Cité. Ses travaux portent sur la santé et le milieu hospitalier, en particulier sur le travail mortuaire en temps de pandémie de Covid-19 en France et sur la prise en charge des maladies respiratoires au Ghana.
Patrick Cloos est professeur en sciences sociales et en santé publique à l’Université de Montréal. Avant de rejoindre le domaine académique, Patrick a pratiqué la médecine d’urgence et humanitaire dans plusieurs régions du monde. Il est actuellement impliqué dans plusieurs études en santé mondiale, notamment sur le changement climatique et la santé dans la Caraïbe.
Abdourahmane Coulibaly est titulaire d’un doctorat de l’EHESS en anthropologie sociale et ethnologie. Il est actuellement enseignant-chercheur à la Faculté de Médecine et d’Odontostomatologie du Mali. Ses recherches portent entre autres sur la santé communautaire, la santé de la mère et de l’enfant, l’anthropologie hospitalière.
Christian Dagenais est professeur titulaire au Département de psychologie de l’Université de Montréal. Depuis 2009, il est à la tête de l’Équipe RENARD, une équipe fortement investie dans la recherche sur le transfert de connaissances (TC). Au cours des 25 dernières années il a dirigé de nombreuses études portant sur le TC dans plusieurs domaines au Québec et à l’Étranger.
Pierre-Marie David est sociologue et pharmacien, professeur agrégé à la Faculté de Pharmacie de l’Université de Montréal. Ses recherches questionnent les ambiguïtés des politiques pharmaceutiques et des logiques de santé mondiale.
Manuela De Allegri coordonne l’équipe de recherche en économie de la santé et financement à l’Institut de santé mondiale de Heidelberg. Sa recherche porte sur les systèmes de santé, particulièrement sur les effets des interventions en santé globale et l’interaction entre le financement des services de santé et les autres éléments du système.
Arnaud Duhoux est professeur agrégé à la faculté des sciences infirmières de l’université et Montréal et chercheur régulier au pôle 1 de recherche du CISSS de Laval. Ses travaux portent notamment sur l’implantation d’innovations en première ligne, la mesure et l’amélioration de la performance des services en santé, avec un focus particulier sur la contribution des infirmières à la réponse aux besoins populationnels.
Raylson Emanuel Dutra da Nóbrega est titulaire d’une maîtrise en santé publique de la Fondation Oswaldo Cruz (Fiocruz-PE). Il est membre du Centre d’Activités Intégrées de l’Université Fédérale d’Amazonas et travaille actuellement comme dentiste auprès des populations indigènes.
Boubacar Sidiki Ibrahim Drame est Médecin biologiste, enseignant chercheur et Maître de Conférences en Biochimie à la faculté de médecine et d’odontostomatologie (FMOS) de l’université des science techniques et technologie de Bamako (USTTB).
Fabrice Escot a suivi un parcours universitaire pluridisciplinaire et est diplômé en histoire de l’Université Paris-I. Après avoir travaillé pendant quinze ans dans le secteur des études qualitatives internationales, il a rejoint en 2009 l’Association Miseli de recherche en anthropologie des dynamiques locales, basée à Bamako au Mali. Il s’intéresse particulièrement à l’économie des ménages dans les milieux ruraux et informels et aux programmes de protection sociale. Il a notamment mené depuis 2010 plusieurs études sur l’évolution de la presse malienne et sa relation à la communication institutionnelle, notamment sur des politiques publiques de santé et de protection sociale.
Adama Faye, médecin, est professeur titulaire des universités. Il est spécialiste en Santé Publique, en épidémiologie et biostatistique. En tant que directeur de l’Institut de Santé et Développement (ISED) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, il joue un rôle essentiel dans la formation et la recherche en santé. Il est auteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques.
Betise Mery Alencar Furtado est titulaire d’un doctorat en Sciences et d’un master en Santé Publique, tous deux obtenus à la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle occupe actuellement le poste de professeure et de membre permanent du programme de troisième cycle en expertise médico-légale à l’Université de Pernambouc, au Brésil. Ses recherches portent notamment sur la promotion de la santé au sein des populations vulnérables. Elle possède une vaste expérience en santé publique.
Morgane Gabet soutient prochainement sa thèse doctorale en santé publique (Université de Montréal, Canada), option systèmes organisations et politiques de santé, portant sur la qualité des soins après une visite aux urgences pour les personnes ayant des troubles mentaux. Prochainement stagiaire postdoctorale à l’Université Laval (Canada), elle s’intéresse plus particulièrement à l’organisation des services, avec un accent particulier sur l’accès équitable aux soins de santé mentale.
Marie-Catherine Gagnon-Dufresne est candidate au doctorat en santé mondiale à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Elle s’intéresse principalement à la participation authentique des communautés marginalisées dans la recherche en santé publique et mondiale, adoptant des approches participatives, féministes et décoloniales.
Lara Gautier est professeure adjointe au Département de Gestion, Évaluation et Politique de Santé de l’École de Santé Publique de l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de Recherche en Santé Publique. Elle est aussi chercheuse associée au Centre Population et Développement (Ceped) à Paris. Ses intérêts de recherche se situent au croisement de la science de la mise en œuvre, de la recherche sur les politiques et systèmes de santé, et de la santé des migrant-e-s.
Stéphanie Gomes de Medeiros est candidate au doctorat dans le cadre du programme de troisième cycle en Sociologie de l’Université Fédérale de Pernambouc (Brésil). Ses principaux domaines de recherche incluent la sociologie de la communication, du genre, de la santé et la santé collective. Elle détient un diplôme de master en Sociologie de l’Université de Nantes (France). Parmi ses expériences professionnelles, elle a occupé le poste de professeure suppléante à l’Université de l’État de Paraíba, a travaillé en tant que consultante dans des cabinets de conseil et a été assistante de recherche à la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil).
Ayako Honda est professeur au Centre de recherche sur les politiques et l’économie de la santé de l’Institut d’études avancées Hitotsubashi, Université Hitotsubashi, Tokyo, Japon. Elle possède une vaste expérience de l’application des sciences sociales à la recherche sur les systèmes de santé en Asie et en Afrique. Ses travaux de recherche portent sur la manière dont les différents groupes d’acteurs interagissent et réagissent dans la mise en œuvre de la politique de santé. Le professeur Honda est titulaire d’un doctorat en économie de la santé de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.
Renyou Hou est anthropologue, chargé de recherche au CNRS, au LISST-Centre d’Anthropologie Sociale (UMR 5193). Ses thématiques de recherche portent sur l’anthropologie du genre et de la parenté, la santé, la procréation médicament assistée et la grossesse pour autrui, en Chine rurale et urbaine.
Roch Houngnihin est professeur d’anthropologie de la santé à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin). Il dirige actuellement le Laboratoire d’Anthropologie Médicale Appliquée (LAMA). Depuis une vingtaine d’années, il mène des recherches sur les politiques publiques et les systèmes de santé en Afrique : accès aux soins, logique des soignants, politiques d’exemption, santé maternelle, épidémies émergentes, éthique des politiques de santé, etc.
Aurélie Hot est conseillère principale de recherche pour l’Équipe RENARD depuis avril 2021 (https://www.equiperenard.org/), une équipe de recherche en partenariat œuvrant en « science du transfert de connaissances ». Elle a été spécialiste en mobilisation des connaissances pour le réseau de la santé et des services sociaux ainsi que dans le milieu des organismes communautaires québécois. Elle est rédactrice adjointe de la revue TUC sur le transfert et l’utilisation des connaissances et membre collaboratrice de l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du Numérique.
Muriel Kielende est médecin de formation, diplômée en santé publique de l’Université Catholique de Louvain et de l’Université de Montréal. Elle s’intéresse à l’évaluation des services, organisations et systèmes de santé. Elle collabore actuellement avec l’équipe RENARD (Unité de recherche spécialisée en transfert des connaissances de l’université de Montréal) sur divers projets de recherche.
Haruka Kodoi est infirmière diplômée et agent technique à la division de la politique et de la recherche en matière de santé mondiale au sein du département de la planification et de la gestion de la santé du Centre national pour la santé et la médecine mondiales (NCGM) au Japon. Elle s’intéresse à la qualité des soins médicaux et à la lutte contre les infections, en particulier au Viêt Nam et au Myanmar.
Xavier Lescure est professeur d’infectiologie et chef de service adjoint du Service des Maladies Infectieuses et Tropicales de l’hôpital Bichat Claude-Bernard. Ses recherches au sein de l’unité UMRS IAME (Infections-Antimicrobials-Modelling-Evolution) portent sur les risques épidémique et le bon usage antibiotique. Durant l’épidémie de Covid-19 il a endossé des responsabilités de coordination opérationnelle de la réponse nationale en France et a assuré des fonctions de conseiller ministériel.
Jean-Christophe Lucet est professeur de microbiologie à l’université Paris Cité, chef de l’unité de prévention de l’infection (EPRI) de l’hôpital Bichat Claude-Bernard et chercheur à IAME (Infections-Antimicrobials-Modelling-Evolution). Ses travaux portent sur la prévention des maladies infectieuses et des infections liées aux soins et l’hygiène hospitalière.
Isadora Mathevet est diplômée d’un Master en économie du développement de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses recherches portent sur l’assurance santé, l’accès aux soins, les inégalités sociales de santé ainsi que sur les politiques de santé.
Esther McSween-Cadieux est professeure associée au Département d’études sur l’adaptation scolaire et sociale à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke. Elle est diplômée d’un doctorat (Ph.D.) en psychologie recherche et intervention de l’Université de Montréal en 2019. Ses intérêts de recherche portent sur l’évaluation des processus et des effets des stratégies de transfert de connaissances ainsi que sur la mise en œuvre de mécanismes d’intermédiation tels que le courtage de connaissance.
Rachel Mikanagu détient une maîtrise en affaires internationales de l’Université Columbia et en voie de compléter une maîtrise en santé mondiale à l’Université de Montréal. Elle a plus de 10 années d’expérience dans la défense des droits de santé des femmes et des enfants en Haïti et en Afrique subsaharienne. Elle a travaillé avec la Direction de la santé publique de Montréal pendant la Covid-19, aidant à assurer la santé et la sécurité de la population itinérante.
Karla Myrelle Paz de Sousa est titulaire d’un master en santé publique de l’Institut Aggeu Magalhães de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle a également effectué une résidence en santé publique dans le cadre du programme multiprofessionnel du Département de la santé de la municipalité de Recife (Pernambouc, Brésil), où elle occupe le poste de conférencière invitée. Elle possède une expérience en recherche qualitative dans les domaines des soins de santé, de la gestion et de la santé collective.
Shinichiro Noda est directeur de la division des programmes de santé mondiale du Bureau de la coopération internationale en matière de santé au Centre national de santé et de médecine mondiales (NCGM) au Japon. Après avoir commencé sa vie professionnelle en tant que pédiatre, le Dr Noda a entrepris des études de troisième cycle à l’école de santé publique et de médecine tropicale de l’université de Tulane, aux États-Unis. Il a travaillé comme conseiller technique sur des projets d’aide publique au développement (APD) dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, notamment au Bureau provincial de la santé du Honduras et au ministère de la santé de la République démocratique populaire lao (Laos). Depuis 2021, il travaille en tant que conseiller technique du ministère de la santé de la République du Sénégal. Le Dr Noda a mené d’importantes recherches sur les systèmes de prestation de services de santé au Laos, au Kenya et au Japon.
Katarina Ost est candidate au doctorat à l’Université d’Ottawa où elle étudie les méthodes de contrôle de la maladie de Lyme. Elle est titulaire d’un MPH en services de santé de l’Université de Washington et s’intéresse à l’étude du changement climatique et de la santé, ainsi qu’aux maladies infectieuses.
Nathan Peiffer-Smadja est maître de conférence en maladies infectieuses à l’Université Paris Cité et praticien hospitalier dans le Service des Maladies Infectieuses et Tropicales de l’hôpital Bichat Claude-Bernard. Ses recherches portent sur la prise en charge des maladies infectieuses et tropicales, la lutte contre les maladies émergentes notamment en s’appuyant sur l’utilisation et l’adoption d’outils électroniques d’aide à la décision. Elles sont réalisées au sein de l’unité UMRS IAME (Infection-Antimicrobials-Modelling-Evolution) et à l’Imperial College à Londres.
Helena Pinto est titulaire d’un master en Sciences de la Santé de l’Université de Pernambouc (Brésil). Elle travaille actuellement comme orthophoniste à l’Hôpital Universitaire Oswaldo Cruz (Brésil), comme professeure à l’Université Catholique de Pernambouc (Brésil) et comme tutrice pour la résidence en soins palliatifs à l’Institut des sciences biologiques.
Michelle Proulx détient un doctorat en santé publique de l’Université de Montréal (option promotion de la santé) de même qu’une formation postdoctorale à l’équipe MéOS (Médication comme objet social et culturel) de cette même université. Elle effectue, depuis près de 15 ans, divers travaux de recherche en santé et en éducation à titre de travailleuse autonome dont des mandats de recherche en transfert des connaissances.
Ana Lúcia Ribeiro de Vasconcelos est docteure en Sciences de la Santé de l’Université de Brasília (Brésil). Elle est professeure et chercheuse à Institut Aggeu Magalhães de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle travaille également comme gynécologue pour le Département de la Santé de l’État du Pernambouc.
Zoé Richard est diplômée de Sciences Po Toulouse et d’un master en promotion de la santé et prévention (École des Hautes Études en Santé Publique). En tant que chargée d’études au sein du projet HoSPiCOVID (2020-2022), elle a conduit des enquêtes qualitatives dans des services de santé et hôpitaux français durant la pandémie de Covid-19. Doctorante en anthropologie et sociologie au Centre Population et Développement (Ceped – Université Paris Cité, IRD, INSERM), ses travaux s’intéressent à la réponse hospitalière aux maladies infectieuses déployée par le Système Unique de Santé brésilien dans le contexte post-pandémique.
Valéry Ridde est directeur de recherche au Ceped (http://www.ceped.org), une unité de recherche commune à l’Université de Paris et à l’Institut de recherche pour le développement (IRD). Il a été professeur agrégé à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et titulaire d’une Chaire de recherche en santé publique appliquée des IRSC. Il est actuellement basé à l’Institut de la santé et du développement (ISED) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal). Ses travaux de recherche et d’évaluation portent sur la couverture maladie universelle, le financement des services de santé, l’évaluation des programmes, les politiques de santé publique et le transfert des connaissances.
Sydia Rosana de Araújo Oliveira est docteure en Santé Publique de l’Université Fédérale de Bahia (Brésil). Pendant son doctorat, elle a effectué une période d’alternance à l’Université de Montréal en 2011. Actuellement, elle est professeure et coordinatrice adjointe du programme professionnel en santé collective à l’Institut Aggeu Magalhães de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc.
Ashley Savard Lamothe est titulaire d’une maîtrise en santé publique, option santé mondiale, de l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Elle s’intéresse aux enjeux de santé mondiale, en particulier aux inégalités sociales et aux populations vulnérables.
Aletheia Soares Sampaio est docteure en Santé Publique de la Fondation Oswaldo Cruz à Pernambouc (Brésil). Elle travaille en tant que chercheuse à la même Fondation et en tant que médecin infectiologue à l’Université de Pernambouc. Ses travaux incluent principalement la recherche clinique, notamment l’étude des maladies infectieuses telles que les arboviroses, la Covid-19, le VIH/sida et les infections sexuellement transmissibles. Elle se consacre principalement à la prise en charge de la santé des populations vulnérables.
Sidibé Souleymane est docteur en santé publique, option analyse des politiques et systèmes de santé de l’Université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou. Ses travaux portent spécifiquement sur l’accès aux soins des indigent-e-s, les inégalités sociales et l’équité en santé.
Toyomitsu Tamura est un infirmier diplômé, titulaire d’une licence en ingénierie et d’un master en sciences de la santé. Il est directeur de la division des relations publiques et de la communication au sein du département du développement des ressources humaines, bureau de la coopération internationale en matière de santé au Centre national pour la santé et la médecine mondiales (NCGM) au Japon. M. Tamura a une expérience significative dans les études sur le développement des ressources humaines pour la santé, en particulier en Afrique francophone.
Laurence Touré est anthropologue, chercheuse à Miseli, l’association de recherche et de formation en anthropologie des dynamiques locales, à Bamako au Mali. Ses recherches portent sur les politiques publiques de santé et de protection sociale et sur la couverture universelle santé.
Lola Traverson est ingénieure d’études au Ceped, une unité de recherche sous tutelle de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et de l’Université Paris Cité (UPC). Elle travaille notamment sur les impacts de la pandémie de Covid-19 sur les hôpitaux et leurs personnels ainsi que sur le transfert de connaissances.
Romane Villemin est doctorante en psychologie du développement à l’UQÀM. Précédemment, elle a effectué une maîtrise à l’UdeM sous la direction de Christian Dagenais. Cette expérience lui a permis de découvrir et d’être sensibilisée à la science du transfert de connaissances. C’est pourquoi elle continuera à promouvoir son utilisation tout au long de son doctorat et de sa future carrière professionnelle.
Yazdan Yazdanpanah est professeur d’infectiologie, chef de service du Service des Maladies Infectieuses et Tropicales de l’hôpital Bichat Claude-Bernard, doyen en infectiologie de l’Université Paris Cité et directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida, les hépatites virales et les maladies infectieuses et réémergentes (ANRS-MIE).
Kate Zinszer est professeure agrégée à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche en santé publique. Elle est également boursière FRQS (Fonds de recherche du Québec – Santé) Junior 2 et rédactrice académique pour les revues PLOS Neglected Tropical Diseases et PLOS Global Health. Ses recherches portent sur l’évaluation de l’efficacité des interventions de santé publique et sur la compréhension de l’épidémiologie et de l’évolution des maladies infectieuses.