3 L’acceptabilité sociale dans un projet de construction de bibliothèque dans un quartier populaire de Cotonou au Bénin : cas de la bibliothèque de Fidjrossè
Djossè Roméo Tessy
Introduction
L’aménagement du territoire est l’un des enjeux majeurs du développement local. Son ultime but, c’est l’amélioration du cadre et des conditions de vie des populations. Même si le développement local a été souvent lié à des problématiques de développement économique, les questions politiques, sociales et culturelles s’y sont invitées. Dans les pays en développement, les politiques publiques en tendance à mettre de côté la culture qui, pourtant, est un pilier du développement durable dans toute société. En dehors de son pouvoir économique, avec les industries culturelles et créatives (Sissoko, 2013), elle constitue un élément important du vivre ensemble. D’ailleurs, les formes de gouvernance politique qui ne tiennent pas compte de cet élément ont souvent montré leurs limites et ont même échoué. Ce constat se fait à deux niveaux. Premièrement, dans l’échec des projets initiés et financés par les organismes internationaux qui n’ont pas su amorcer la participation des populations bénéficiaires. Et deuxièmement, au niveau national où les gouvernants ont une vision légaliste du mandat qui leur est confié par les citoyens. Tout point fait, les événements se déroulent comme si les populations se voient imposer le développement. Alors, même si l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des populations, leur avis compte pour beaucoup. Sinon, les projets aboutissent à des situations de rejet où, même en l’absence de soulèvement populaire, le boycottage devient une arme. Par exemple, un projet de construction de toilettes publiques dans un village, financé et mis en œuvre par une organisation internationale, a échoué parce que culturellement pour les habitants de ce village, deux trous ne se font pas face. Cet exemple, souvent cité en cas d’école, devrait interpeller tout initiateur de projet, car il aurait fallu initier en amont des consultations publiques pour recueillir l’avis des populations. Les projets de développement peuvent émaner de différentes organisations, qu’elles soient étatiques ou privées. Les projets étatiques dans les pays de l’Afrique francophone de l’Ouest sont de plus en plus importants, au vu des chantiers existants : les routes, les écoles, les aires de loisirs, etc. Dans la plupart des cas, ces projets passent de force, avec la force légitime de l’État (les lois, les décrets et la police) qui ne tient pas compte des populations.
Dans ce chapitre, je présente comment s’est déroulé l’acceptabilité sociale dans le cadre d’un projet initié par un partenaire privé. Il s’agit d’un projet initialement dénommé « Bibliothèque d’ouverture au Monde » qui s’inscrit dans le Programme Société Civile et Culture (PSCC).
Le programme a été financé conformément aux lignes directrices des projets issus des acteurs de la société civile.
Contexte et enjeu du projet de bibliothèque à Fidjrossè
Le secteur de la culture au Bénin a été souvent relégué au second rang dans les projets priorisés par les différents gouvernements. Le secteur du livre et de la lecture est touché par différents problèmes, notamment l’absence d’infrastructures de bibliothèque (Sonon, 2014). Cotonou, la capitale économique du Bénin, ne dispose pas de bibliothèque de lecture publique. En plus, les bibliothèques scolaires ou encore les centres de lecture et d’animation culturelle (Clac) connaissent d’importantes difficultés liées au manque de personnel ou de financement, conduisant à leur abandon sinon à leur fermeture progressive. Face à ce tableau désespérant, la Fondation Zinsou, créée en 2005 avec pour mission de promouvoir l’art contemporain africain a décidé d’ouvrir une brèche dans ses actions. Elle a ouvert une première mini-bibliothèque en décembre 2009 dans un quartier populaire de Cotonou, Akpakpa. La Fondation a poursuivi, puis mûri, son engagement pour le livre et la lecture par la création d’une autre bibliothèque à Gbégamey et, plus tard, à Fidjrossè et à Agla, toujours à Cotonou. Le projet de construction d’une bibliothèque à Fidjrossè, qui est le 3e du projet de « mini-bibliothèque » développé par la Fondation Zinsou, devrait offrir un accès gratuit aux livres et à lecture aux populations de Fidjrossè et plus largement de Cotonou. Le coût total du projet est de 94 782 767 FCFA soit 144 495 €. La mise en œuvre du projet a duré 18 mois, dont six mois de travaux, du 1er février 2012 au 31 mai 2013.
Un enjeu de développement du quartier Fidjrossè
Fidjrossè est l’un des quartiers les plus populaires de Cotonou, se trouvant dans l’arrondissement le plus peuplé (+ de 100 000 habitants). Décrit comme un quartier riche, il est pourtant l’un des quartiers où il n’existe pas d’espace de loisirs. Des résidences de haut luxe appartenant à des personnes fortunées ont récemment pris plein pied dans le quartier. Elles correspondent au style de vie de ces nouveaux habitants qui ont choisi ce quartier pour sa proximité avec la plage, l’océan Atlantique et le seul aéroport civil fonctionnel du Bénin, l’aéroport de Cadjèhoun. Dans ce même quartier habitent des autochtones (les Cominvi en langue fon) qui se réclament être du quartier depuis toujours. Ils sont pour la plupart pêcheurs ou descendants de pêcheurs et vivent aussi de cette activité. Certains logent dans des résidences en matériaux précaires et sont les plus nombreux.
À première vue, les questions d’accès au livre et à la lecture ne préoccupent pas cette population. Les plus fortunés ont de quoi offrir des ouvrages à leurs enfants. On peut aussi penser que les populations au revenu moyen ou faible ont d’autres priorités existentielles et que leurs revenus ne peuvent permettre de couvrir leur besoin d’accès à la culture. Or, dans ce même quartier, il existe plusieurs établissements scolaires et universitaires. L’objectif de la bibliothèque de Fidjrossè est donc de permettre à cette population d’avoir accès à un certain nombre d’activités ludiques et éducatives, permettant aussi de contribuer à dynamiser le quartier.
Les grandes lignes du développement du projet
Les objectifs du projet tels qu’énoncés dans le cadre logique sont :
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Favoriser l’épanouissement des enfants béninois en mettant à leur disposition des instruments qui leur offriront un accès libre et gratuit à la lecture, à l’éducation, à la culture, à l’art et à l’information.
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Répondre aux besoins, de formation, d’éducation et de loisirs exprimés par les enfants, dans un contexte où l’accès aux livres est rendu difficile par le prix élevé de ceux-ci au regard de leurs petits moyens. (Fondation Zinsou, 2012)
Pour atteindre ces objectifs, différentes activités ont été mises en place et constituent les deux grandes phases du projet. Une phase de travaux de réhabilitation des locaux de la bibliothèque (gros œuvres) et une phase d’activités (mise en place des ouvrages, sélection du personnel et formation, animation du centre).
Le projet de construction de la bibliothèque consistait à faire un partenariat avec un organisme privé (CAEB) qui a, sur toute l’étendue du territoire national béninois, un projet de création de bibliothèques. Les locaux cédés par le CAEB et prévus par le contrat de bail sont :
- un bâtiment, approximativement situé au centre du terrain, lequel est partiellement inachevé pour avoir été conçu pour abriter deux niveaux (RDC + 1) et a précédemment accueilli, en son rez-de-chaussée, une bibliothèque scolaire dont l’exploitation a été interrompue;
- un bâtiment, implanté sur le flanc nord du terrain, dépourvu de toiture, dont seuls les murs ont été partiellement montés;
- une construction sommaire abritant un atelier de cuniculture;
- une cour destinée à être aménagée en aire de jeux pour les enfants.
Le CAEB avait donc aussi une bibliothèque dans le quartier de Fidjrossè. Mais cette bibliothèque était dans un état de délabrement avancé, car laissée à l’abandon. Le projet de la bibliothèque avait donc prévu de reprendre gratuitement ces lieux sur une période de cinq ans, renouvelable par tacite reconduction, de les réaménager et d’y mettre en place des espaces de lecture et de loisirs. Le projet prévoyait donc différents espaces de lecture (adulte, enfants, art et vidéothèque), un espace de cinéma, un espace d’atelier d’expression artistique pour les enfants et une aire de jeux.
Il y a dans ce projet une partie conséquente de gros œuvre visant à réaménager des bâtiments pour y installer les divers espaces, les toilettes, etc. Une phase de mise en place des équipements à l’intérieur des espaces et une phase d’animation des lieux.
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Source : Fondation Zinsou (2013)
L’équipe projet est composée comme suit : un chef de projet, une comptable et un référent technique. Cette équipe est appuyée par d’autres membres de l’équipe de direction de la Fondation Zinsou, dont la présidente de la fondation, la responsable aux affaires extérieures et la directrice de la production. Ces personnes ne font pas partie de l’organigramme du projet, mais interviennent systématiquement lorsqu’il y a un projet initié par la fondation.
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Figure 1 : Organigramme du projet de la bibliothèque de Fidjrossè
Participants, cibles et enjeux
Les personnes qui se sentent concernées sont les jeunes du quartier de Fidjrossè qui sont organisés au sein d’une association.
Les cibles du projet sont : la population de Fidjrossè, et plus largement la population de Cotonou, quel que soit l’âge et le sexe.
Les personnes touchées sont également celles qui utilisaient certains bâtiments annexes du site pour diverses activités (ateliers de couture, habitation, etc.).
Le projet a pour avantage de permettre à la population du quartier de Fidjrossè, et plus largement de la ville de Cotonou, d’avoir accès à des ressources éducatives et ludiques. Ces avantages sont définis comme tels par la fondation dans le projet soumis au PSCC.
Les conséquences possibles du projet qui ont généré ou qui peuvent générer une opposition ou un appui
Dans la mise en œuvre du projet, des travaux de réhabilitation, couramment appelés gros œuvre, sont prévus. Les concertations ont lieu chez le chef de quartier, qui est un lieu symbolique dans la plupart des quartiers. En effet, dans son mémoire intitulé « Vers une dynamisation des conseils de village ou de quartier de ville dans l’exercice de la gouvernance locale au Bénin », Gilles Faucas Bessan (2011) présente comment le rôle du chef de quartier de ville ou de village est perçu. Son enquête rapporte que, selon les populations, le chef du village s’occupe « du règlement des litiges et différends par convocation et médiation; de la distribution des convocations venant de la gendarmerie; de la sécurité (maintien de l’ordre et de la paix sociale, renseignement sur les étrangers installés dans le village); de l’information de la population via les crieurs publics; de la mobilisation de la population pour diverses activités; des réunions trimestrielles pour débattre des questions locales (salubrité, développement local, réflexion sur l’amélioration du cadre de vie communautaire); des signatures des attestations de vente et règlements à l’amiable des litiges fonciers; d’hébergement des voyageurs surpris par la nuit ». La majorité de ces activités se déroulent chez le chef de quartier, qui est comme la « maison du quartier ». Les citoyens y vont souvent pour les différents cas cités par Bessan (2011).
Le cadre physique n’est donc pas novateur en ce sens qu’il s’agit d’un lieu déjà investi pour des questions publiques. Cependant, il a une valeur importante pour les citoyens, car c’est le cadre habituel des concertations qui ont lieu dans le quartier. Les concertations qui passent par là ont une certaine légitimité.
Ce projet modifie, positivement, le paysage du quartier, car étant situé à son entrée. Les conséquences qui ont été prévues sont les bruits que pourrait générer l’exécution des travaux et qui pourraient déranger le voisinage. Aussi, certaines activités sont prévues à partir de 20 h et concernent surtout les enfants. Les parents pourraient s’opposer à ce que leurs enfants soient dehors à cette heure. Nous avons également anticipé une réticence de la part des populations à participer spontanément aux activités proposées dans ce lieu. Les populations pourraient ne pas se sentir concernées par l’ouvrage, car n’y étant pas associées dès le début, et pourraient même interdire l’accès à ces lieux à leurs enfants, ce qui avait déjà été constaté dans d’autres projets de bibliothèque à Cotonou. Cette situation naît surtout d’une mauvaise information sur ces lieux, d’où l’importance de de transmettre des informations très tôt le projet.
Les modalités de déroulement du débat
À mi-parcours de l’exécution des travaux d’aménagement des locaux prévus pour abriter les activités de la bibliothèque, l’équipe du projet a reçu un courrier du chef de l’arrondissement dont fait partie le quartier de Fidjrossè. Ce courrier demandait l’arrêt immédiat des travaux en cours, donnant comme motif que les associations de jeune du quartier se sont plaintes de n’avoir pas été associées au projet.
L’équipe du projet a contacté le maire de Cotonou pour qu’il soit le médiateur de la situation. Le dialogue entre les protagonistes a été finalement organisé par le premier adjoint au maire de la ville de Cotonou. Il s’agit de la seconde personnalité de la ville. Le dialogue a eu lieu dans les locaux de la mairie à Cotonou. Pendant la discussion, le maire a remis en cause la légalité et la légitimité de la décision du chef d’arrondissement, considérant que les travaux qui avaient lieu visaient un intérêt général et répondaient à ce que pouvaient espérer les associations. À la fin de la médiation, l’équipe a eu l’autorisation de continuer les travaux.
Actions menées dans le processus « positif » d’acceptabilité sociale
Le processus mis en place a la particularité de concerner un projet issu de la société civile. Au Bénin, les projets mis en place avec une concertation réfléchie et organisée sont rares ou inexistants.
Plusieurs échanges ont eu lieu entre le chef de quartier, ses conseillers et la chargée aux relations extérieures du projet. Les objectifs étaient de recueillir l’avis des différentes parties prenantes pour faire évoluer le projet. Le chef de quartier est essentiel dans cette démarche parce que, bien qu’étant une personnalité élue, il fait le relais entre les associations du quartier et la population.
Les informations sur le projet n’étaient pas vulgarisées dans les documents, mais, sur le site physique, les agents présents pouvaient informer les citoyens qui souhaitent s’enquérir de la finalité du projet. Aussi, le rôle de la responsable des relations extérieures était d’expliquer le projet à ses interlocuteurs, y compris en langue fon, afin qu’ils en saisissent le bien-fondé pour le développement du quartier et l’épanouissement de ses citoyens. Le processus, qui a inclus les élus et l’association des jeunes, permettait de discuter des enjeux de cette bibliothèque pour Fidjrossè. Le processus a débuté dès la signature du contrat de financement avec le PSCC en février 2012.
Une volonté de maintenir la communication tout au long du projet
C’est la responsable des relations extérieures qui s’occupe de mener les consultations en amont et pendant la mise en œuvre des projets. La consultation a consisté en plusieurs rencontres avec le chef de quartier, ses conseillers, ainsi que les associations de jeunes du quartier pour leur parler du projet. La fonction de cette concertation est d’informer les responsables du quartier sur le déroulement du projet qui va mobiliser la population et qui pourrait, dans sa première phase, déranger le voisinage en raison des travaux. Aussi, cette démarche consiste à recueillir l’avis et susciter l’adhésion des populations qui sont représentées légalement par le chef de quartier et ses conseillers et légitimement par les associations.
Cette démarche était aussi importante en raison de la nature des activités de la bibliothèque, qui touchent les enfants et indirectement leurs parents et pour éviter que le projet soit mal perçu et que les populations boycottent l’utilisation de la bibliothèque comme ça a été déjà le cas dans d’autres projets de développement.
Les programmes politiques cachés comme facteurs secondaires
De la lecture qui a été faite de cette situation, il ressort que le chef d’arrondissement n’avait pas totalement digéré un ancien projet avorté avec la Fondation Zinsou. En effet, il s’agissait aussi d’un projet de construction d’une bibliothèque entièrement numérique (équipée de liseuses électroniques) dans un local mitoyen à la mairie et fourni par celle-ci. Ce projet n’a pas abouti, ce qui est resté au travers de la gorge du chef d’arrondissement, qui n’a pas compris pourquoi une bibliothèque était en train d’être implantée dans un autre quartier que celui qu’il avait décidé. Pourtant, ces deux projets ont été conçus séparément et n’avaient rien d’autre en commun que de se trouver dans deux quartiers différents, mais faisant partie du même arrondissement.
Lors d’une réunion avec l’adjoint au maire de la ville de Cotonou, le chef de l’arrondissement et l’équipe du projet, les différentes parties ont été entendues. Le chef d’arrondissement a reporté sa décision et les travaux se sont poursuivis.
Favoriser l’acceptabilité sociale de futurs projets
Ce cas montre que l’acceptabilité est un processus qui permet aux différentes parties prenantes de se parler et de trouver des solutions sur les points de controverse ou de divergence. Ce qui correspond à la définition selon laquelle l’acceptation sociale est :
« un enjeu central des processus de gouvernance à l’échelle locale et régionale, et consiste en un outil de gestion territoriale centré sur les acteurs locaux, qui vise à une réduction des conflits. » (Batellier, 2015 : 53)
Ainsi, l’acceptabilité sociale n’est pas quelque chose de naturel, quelle que soit la nature ou la finalité du projet. En effet, on peut penser que ce projet de construction de bibliothèque, avec un accès gratuit et ouvert à tous, serait accueilli naturellement par tous. Malgré la concertation qui a eu lieu en amont et pendant le déroulement le projet avec les élus locaux et les associations, un blocage est tout de même survenu. Dans la mentalité de certains élus, un projet d’une telle envergure pourrait enrichir leur portefeuille personnel. Et le blocage peut arriver lorsque ces élus n’ont pas empoché une part du budget réservé pour le projet. Il s’agit donc tout simplement d’une manœuvre politique pour faire pression sur les promoteurs.
Aussi, je remarque que les associations de jeunes, n’ont soit pas vraiment compris la finalité du projet, soit se sont laissées manipuler par la politique. La deuxième hypothèse semble la plus plausible, d’autant plus qu’il existe beaucoup d’accointances entre ces associations et les élus qui les financent et, aussi, les motifs évoqués sur la lettre d’arrêt des travaux n’étaient pas valables en raison des démarches qui ont été mises en place par l’équipe projet. Quel que soit le projet, la participation doit être de mise.
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Figure 2 : Maquette du projet
Source : Fondation Zinsou (2012b)
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Figure 3 : Les lieux avant les travaux
Source : Fondation Zinsou (2012b)
Bibliographie
Batellier, Pierre. 2015. « Acceptabilité sociale ».
Bessan, Gilles Faucas. 2011. « Vers une dynamisation des conseils de village ou de quartier de ville dans l’exercice de la gouvernance locale au Bénin – ». Mémoire. Université d’Abomey-Calavi (Bénin ). https://www.memoireonline.com/10/12/6264/m_Vers-une-dynamisation-des-conseils-de-village-ou-de-quartier-de-ville-dans-l-exercice-de-la-gouverna10.html.
Fondation Zinsou. 2012a. « “Bibliothèque d’ouverture au monde” Fondation Zinsou : Rapport de démarrage ». Fondation Zinsou.
———. 2012b. « “Bibliothèque d’ouverture au monde” Fondation Zinsou : Rapport narratif intermédiaire ».
———. 2012c. « Rapport trimestriel d’avancement des activités de l’action ». Fondation Zinsou.
———. 2013. « “Bibliothèque d’ouverture au monde” Fondation Zinsou : Rapport narratif final ».
PSCC. 2012. « Programme de travail annuel en matière de subventions du programme société civile et culture (PSCC) de la république du Bénin ». https://ec.europa.eu/europeaid/sites/devco/files/awp-benin-pscc-2012_fr.pdf.
République du Bénin. 2013. Loi n° 2013-05 du 27 mai 2013 portant création, organisation, attributions et fonctionnement des unités administratives locales en République du Bénin.
Sissoko, Cheick Oumar. 2013. « La contribution des industries culturelles au développement des pays du Sud ». Africultures, no 69 (décembre):38‑41. https://doi.org/10.3917/afcul.069.0038.
Sonon, Sewlan Stéphane. 2014. « L’expérience des mini-bibliothèques de la Fondation Zinsou dans la promotion de la lecture des jeunes à Cotonou (Bénin) ».
Tessy, Roméo. 2011. « Les CLAC et centre de lecture au Bénin: le bilan des réalisations ». Infodoc, no spécial janv-mars : 16‑17.